ランスのBase 11/19ホテル

イビス駅は、ホテル リンズで訪れる価値のある場所です。リンズ市には多くの道路や新しい施設があり、人は会うのを楽しみにしているので、レセプションは最も重要なステップです:熱心なスタッフに失われることはありません-朝食時間、レストランの実行モードなどを求める必要はありません...スタッフが到着後にあなたにブリーフィングをします、ホテルの滞在を楽しむ方法を簡単に説明します。ダブルルームの予約;彼女はとても清潔で大きく、私と私の妻のニーズを満たしました。ダブルイヤーベッドは快適で、ベッドの兆候はありませんでした。残念ながら、周辺のホテルの部屋で見つけることができます。これらの小さな詳細は、良い状態で、静かな夜を楽しむことができます。朝食と新鮮な製品(色、ミニ、さまざまなコーヒータイプ...)もあります。言うまでもなく、ロケーションサービスと支払いは素晴らしいです、私は強くお勧めします。

ドアがあまり隔離されていないので、寒い限り、それは問題ありません。

とても美しいホテル、とても良いレセプション、私たちは戻ってきます😊

快適で親切なスタッフがいるかなりモダンなホテル。スタンダードルームはかなり小さいですが、優れたWIFIとモダンなシャワーが適切に装備されています。「ツイン」を選択した場合、ベッドは非常に狭いことに注意してください。ホテルを見つけるのは少し難しいです-SATNAVは役に立ちませんが、TGVラインを見つけて標識に従ってみてください。列車は雷を鳴らしますが、防音はかなり良く、列車は夜に停車します。レストランのメニューは非常に限られており、少し高価ですが、非常に良い品質とプレゼンテーションです。熱波でリヨンから旅行したので、エアコンと涼しくてきれいなプールに到着するのは素晴らしかったです。全体的に、非常に良い途中降機で、カレーからわずか1時間ほどです。

L'hôtel et bien le service et bien avec des personnes sympa a l'accueil. Mais dans les chambres et sûr tout dans la salle de bain ça sans la moisissure

とてもフレンドリーな歓迎とホテル。閉鎖されており、完璧な駐車場。オーナーもスタッフもとても親切です。とてもプロフェッショナルです。そして、それには正当な理由があり、前日バスで到着したグループが残念ながら全員の目覚めを妨げる中、私たちはそこで一晩過ごしました。しかし、チームは私たちができるだけ混乱しないように、必要なことをすぐに実行してくれました。皆さん、お疲れ様でした。経営陣は商業的な取り組みも惜しみなく行った。次回この地域に滞在する際には、心配することなく戻ってきます。

L’hôtel nous avait été recommandé pour sa localisation, idéale pour visiter les musées du Louvre-Lens et le LAM à Villeneuve d’Ascq. Sur ce point, nous n’avons pas été trompés. En effet, l’hôtel est situé tout au bord de l’autoroute A1 et de la voie du TGV Lille-Paris. Tout au bord. L’établissement a la grâce d’un motel défraîchi d’une ville minière abandonnée du Dakota, qu’un entrepreneur français excentrique aurait racheté dans les années 1970 pour le prix d’un saucisson, et reconstruit sur une friche acquise pour pas beaucoup plus cher. Accueil cordial et efficace à la réception. Nous repartons, carte magnétique en main et traversons le parking pour gravir gaillardement l’escalier en colimaçon de béton usé qui mène vers la passerelle sur laquelle s’ouvrent les chambres à l’étage. Un pot à fleurs en zinc est accroché à la balustrade devant la porte de notre chambre. IL est rempli d’un sable gris dans lequel gisent des chewing-gums et des mégots de cigarette, sucés jusqu’à la moëlle, aux filtres mâchonnés. Pour en fuir l’odeur âcre, nous ouvrons précipitamment la porte de notre chambre et nous engouffrons à l’intérieur. Nous sommes accueillis par une bouffée violente, tiède et humide au parfum puissant de cigarette. La chambrette est triste et glauque, le mobilier morne et usé, les rideaux jaunis. L’odeur est infecte. La chambre est propre toutefois. Les lits sont faits. Rien à dire à l’équipe de nettoyage. Mais la pièce est sinistre. Et elle pue. Nous avons entendu la réceptionniste répondre au téléphone que l’hôtel était complet. Nous sommes attendus pour la visite du musée. Nous décidons de faire contre mauvaise fortune, bon cœur. Nous achèterons une bombe de désodorisant. De toute manière, nous rentrerons tard et ne resterons qu’une nuit, quittant le lendemain matin. Nous revenons vers 23 heures, heureux d’une belle visite et d’un repas joyeux avec de bons amis. Nous sommes heureux, tolérants, de très bonne composition. Et nous avons acheté une bombe de désodorisant au jasmin. Nous entrons dans la chambrette en riant, bombe en main, projetant le parfum devant nous. Le parfum retombe vite. « La mer y passerait sans laver la souillure, car l’abime est immense et la tâche est au fond ». L’odeur est là, qui s’attache à nous, nous étouffe. Resignés, nous nous couchons. Pour m’endormir, je pense à Arthur Rimbaud, bercé par le doux frou-frou de ses étoiles au ciel. Quant à moi j’écoutais, au bord de l’autoroute Le ron-ron des moteurs, des autos, des camions Le train qui hurle et siffle, le chahut des klaxons Et la pluie sur le toit, qui tombait goutte à goutte. Pour ne plus entendre ce vacarme, je plonge ma tête dans l’oreiller, grumeleux comme un vieux sac à linge rempli de chaussettes roulées en boule. Et je me récite les Ames Damnée de Baudelaire : « A la pâle lueur des lampes languissantes / Sur de profonds coussins, tout imprégnés d’odeurs » Je m’interromps après deux vers. L’oreiller pue la vieille clope. Je suffoque.

Stayed here overnight on the way back to Channel Tunnel at the end of a 16 night road trip. The last of 5 hotels we stayed in it met our expectations in most respects. Well located. Parking directly underneath the hotel (public car park) with a lift straight to reception.(Parking Europe). Thoughtfully planned room and bathroom (full length mirror, quiet air con, fridge, water). Very clean and quiet (despite our room overlooking the station). Polite and efficient reception and bar staff with reasonable bar prices and a nice little outside terrace to have drinks on. The only negative was the included breakfast. We arrived at the breakfast room at 8.30th to find every table covered unused plates/mugs etc with chairs and tables randomly scattered. This wouldn’t have been an issue if there had been any staff hurriedly dealing with the mess (which we thought had maybe been caused by a coach party eating and leaving together?) but it was a full 20 minutes before the staff even noticed (despite there being 2 members of staff on duty). Items were slow to be replenished and all the honey and jam dispensers were empty. When the tables were finally cleared, it was by means of a large catering trolley with attached bin bag being pushed round the dining room, which we found quite intrusive. The actual breakfast offering was lovely - fresh orange juice, delicious yogurt and a great selection of pastries/ cereal etc, it’s just a pity about the ambiance, and lack of customer care shown by the breakfast attendants - perhaps they were just having a bad day? Despite the above we would happily return to this hotel if we visit Arras again.